La signification exacte du cinq de coupe du tarot de marseille
Cinq de coupe à l'endroit
Accepter ses erreurs et aller de l'avant
Nul n'est parfait. On fait tous des erreurs plus ou moins bêtes, plus ou moins graves et le cinq de coupe décrit la capacité à accepter ses erreurs et à aller de l’avant. Le cinq de coupe souligne cet état d’esprit.
Évidemment, pour certaines personnes, il est difficile de lâcher du lest. Elles ne supportent pas de se tromper, de ne pas avoir agi comme elles auraient dû et ensuite ont de la difficulté à surmonter les regrets.
En allant de l’avant, on tire un trait sur le passé et sur la culpabilité, ce qui permet d’être plus entreprenant, d’accepter ses faiblesses. Bien sûr, on se trompera encore, on pourra même recevoir une grosse claque mais quelle importance ? On assumera simplement notre imperfection.
De plus, en amour, il vaut largement mieux aimer puis peut-être souffrir que de ne pas aimer du tout. Parce que celui qui refuse la souffrance ne s’autorise aucune relation et par conséquent, en souffre encore plus !
Évidemment, pour certaines personnes, il est difficile de lâcher du lest. Elles ne supportent pas de se tromper, de ne pas avoir agi comme elles auraient dû et ensuite ont de la difficulté à surmonter les regrets.
En allant de l’avant, on tire un trait sur le passé et sur la culpabilité, ce qui permet d’être plus entreprenant, d’accepter ses faiblesses. Bien sûr, on se trompera encore, on pourra même recevoir une grosse claque mais quelle importance ? On assumera simplement notre imperfection.
De plus, en amour, il vaut largement mieux aimer puis peut-être souffrir que de ne pas aimer du tout. Parce que celui qui refuse la souffrance ne s’autorise aucune relation et par conséquent, en souffre encore plus !
Voir le verre "à moitié plein"
Voir le verre « à moitié plein » dans toutes les occasions de la vie est une caractéristique mise en avant par le cinq de coupe.
La gratitude est bénéfique. Voir le verre à moitié plein signifie apprécier les choses qu’on possède et par conséquent, être plus heureux. Inversement, voir le verre à moitié vide signifie toujours se plaindre de ce qui ne va pas et se rendre malheureux.
C’est simple, il suffit de se concentrer sur des petits plaisirs, de penser au bon plat qu’on vient de manger, à l'air dans nos poumons, aux vêtements sur notre corps, à un lit douillet où dormir…
Beaucoup de gens n'ont pas ce luxe. Soyons heureux de ne pas en être privés, soyons heureux de respirer encore…
Suivant le dicton « On récolte ce que l’on sème », en voyant le verre à moitié plein, alors les pensées deviendront plus positives, les actions bénéfiques et les résultats espérés suivront. Ce processus n’aboutit pas du jour au lendemain, mais avec de la patience, on y parvient à coup sûr.
La gratitude est bénéfique. Voir le verre à moitié plein signifie apprécier les choses qu’on possède et par conséquent, être plus heureux. Inversement, voir le verre à moitié vide signifie toujours se plaindre de ce qui ne va pas et se rendre malheureux.
C’est simple, il suffit de se concentrer sur des petits plaisirs, de penser au bon plat qu’on vient de manger, à l'air dans nos poumons, aux vêtements sur notre corps, à un lit douillet où dormir…
Beaucoup de gens n'ont pas ce luxe. Soyons heureux de ne pas en être privés, soyons heureux de respirer encore…
Suivant le dicton « On récolte ce que l’on sème », en voyant le verre à moitié plein, alors les pensées deviendront plus positives, les actions bénéfiques et les résultats espérés suivront. Ce processus n’aboutit pas du jour au lendemain, mais avec de la patience, on y parvient à coup sûr.
Une lueur d’espoir
La lueur d’espoir du cinq de coupe exhorte à conserver coûte que coûte un état d'esprit positif pour que quelque chose se produise ou s’avère vrai. Nous avons tous des attentes dans la vie et avoir de l’espoir nous fait envisager des lendemains meilleurs.
L'espoir implique la confiance. Si nous espérons vraiment que quelque chose se produira et que quand nous y investirons le meilleur de nous-mêmes pour le réaliser, le but sera atteint.
La lueur d’espoir engendre irrémédiablement la foi, la confiance et l’assurance.
Une personne désespérée ne peut agir sur rien tandis qu’une personne pleine d'espoir peut accomplir des choses qu'elle n'aurait jamais osé imaginer.
Tous les jours sont différents. Nos souhaits ne se concrétisent parfois pas et nos prévisions échouent occasionnellement mais cela suppose de ne jamais baisser les bras.
Le cinq de coupe insiste pour persévérer et ne pas perdre espoir. Tout vient à point à qui sait attendre.
L'espoir implique la confiance. Si nous espérons vraiment que quelque chose se produira et que quand nous y investirons le meilleur de nous-mêmes pour le réaliser, le but sera atteint.
La lueur d’espoir engendre irrémédiablement la foi, la confiance et l’assurance.
Une personne désespérée ne peut agir sur rien tandis qu’une personne pleine d'espoir peut accomplir des choses qu'elle n'aurait jamais osé imaginer.
Tous les jours sont différents. Nos souhaits ne se concrétisent parfois pas et nos prévisions échouent occasionnellement mais cela suppose de ne jamais baisser les bras.
Le cinq de coupe insiste pour persévérer et ne pas perdre espoir. Tout vient à point à qui sait attendre.
Accepter l’échec
Le cinq de coupe invite à accepter l’échec pour en retenir la leçon et en sortir grandi. La carte est positive.
Accepter l'échec, c'est comme pratiquer le zen du mouvement en aïkido. L'aïkido est l'art d'être projeté, de tomber et de se relever dans une positon différente et plus stable. C'est l'art martial sans coup de pied, celui qui traite du perfectionnement des deux dimensions de la vie : comment chuter pour réussir à se relever en étant plus fort.
Certains le considèrent comme le plus difficile de tous les arts martiaux, en partie parce qu'il pousse le corps à faire ce que des milliers d'années de conditionnement nous ont entraînés à ne pas faire : se détendre lorsque nous nous sentons menacés, afin de maintenir la connexion avec notre intérieur.
Comment appliquer cette technique pour accepter l’échec ? En appliquant des techniques de gestion de la douleur par exemple. Nous savons qu’en résistant à l’avertissement que constitue la douleur, nous ne faisons qu’aggraver la blessure. De même, lorsque nous résistons à l'échec, nous l'aggravons nous-mêmes.
C’est pourquoi lorsque nous acceptons l’échec, nous nous abandonnons, nous nous détendons et nous pouvons en tirer une leçon.
Accepter l'échec, c'est comme pratiquer le zen du mouvement en aïkido. L'aïkido est l'art d'être projeté, de tomber et de se relever dans une positon différente et plus stable. C'est l'art martial sans coup de pied, celui qui traite du perfectionnement des deux dimensions de la vie : comment chuter pour réussir à se relever en étant plus fort.
Certains le considèrent comme le plus difficile de tous les arts martiaux, en partie parce qu'il pousse le corps à faire ce que des milliers d'années de conditionnement nous ont entraînés à ne pas faire : se détendre lorsque nous nous sentons menacés, afin de maintenir la connexion avec notre intérieur.
Comment appliquer cette technique pour accepter l’échec ? En appliquant des techniques de gestion de la douleur par exemple. Nous savons qu’en résistant à l’avertissement que constitue la douleur, nous ne faisons qu’aggraver la blessure. De même, lorsque nous résistons à l'échec, nous l'aggravons nous-mêmes.
C’est pourquoi lorsque nous acceptons l’échec, nous nous abandonnons, nous nous détendons et nous pouvons en tirer une leçon.
Accepter le deuil
Nous avons tous des réactions et des processus de guérison uniques face au deuil. Parmi elles, l'automédication par les drogues ou l'alcool sont les pires parce qu’elles ont un impact sur la santé et sur les capacités à faire face. Elles créent aussi d'autres problèmes de santé.
Le cinq de coupe annonce que la personne concernée par le deuil, si et uniquement si un deuil intervient, sera épargnée par l’anéantissement.
Elle subira une période normale de chagrin mais sans grave dépression nécessitant l’appui d'un thérapeute ou d’anti-dépresseurs.
Le cinq de coupe annonce que la personne concernée par le deuil, si et uniquement si un deuil intervient, sera épargnée par l’anéantissement.
Elle subira une période normale de chagrin mais sans grave dépression nécessitant l’appui d'un thérapeute ou d’anti-dépresseurs.
Assumer courageusement ses responsabilités
La personne concernée par le cinq de coupe assume ou devra assumer courageusement ses responsabilité.
Les leçons les plus dures qu’on nous a enseigné à l’école impliquent toutes l’apprentissage à nos dépens de la responsabilité personnelle. C'est-à-dire la fin d’être pris par la main, la fin de la protection parentale des conséquences de nos propres actions ou inactions.
Ainsi, les personnes qui refusent d’assumer leurs responsabilités ne trouveront plus d’âme charitable derrière qui se protéger. Elle devront prendre conscience que c’est vraiment un schéma du passé…
Les leçons les plus dures qu’on nous a enseigné à l’école impliquent toutes l’apprentissage à nos dépens de la responsabilité personnelle. C'est-à-dire la fin d’être pris par la main, la fin de la protection parentale des conséquences de nos propres actions ou inactions.
Ainsi, les personnes qui refusent d’assumer leurs responsabilités ne trouveront plus d’âme charitable derrière qui se protéger. Elle devront prendre conscience que c’est vraiment un schéma du passé…
Cinq de coupe à l'envers
Un tendance à s'apitoyer sur soi-même
Le cinq de coupe à l’envers dépeint un chagrin malsain et une tendance à s’apitoyer sur son sort.
Les enfants peuvent se blesser en jouant et se tordre la cheville mais ils ne pleurent qu’au moment où un adulte court vers eux pour contrôler que tout va bien.
En fait, cet enfant apprécie de recevoir ce sentiment de pitié et d’attention de la part de l’adulte. Mais cela n'arrive pas que chez les enfants. Avez-vous déjà remarqué que certaines personnes se vantent pratiquement de tomber malades ou de se blesser ?
"Salut tout le monde, Je me suis cassé la jambe hier, regardez-moi !"
Ce plaisir d'être « pris en pitié » est une forme particulièrement néfaste de recherche d'attention. C'est un signe d'insécurité. Nous voulons être plaints parce que nous avons besoin d'attention, et la pitié est une forme d’attention.
C’est même une forme de validation par l’autre basée sur des sentiments d'infériorité. Ainsi, une personne subissant un sentiment d’infériorité peut apprécier d’adopter une mentalité de victime. Elle abandonne sa responsabilité personnelle, ce qui lui fournit la « permission » d’accuser quelqu'un ou quelque chose d'autre.
Et la recherche de la pitié va de pair avec l'apitoiement sur soi-même, soit un énorme obstacle au bonheur puisqu’on ne peut se sentir bien si on choisit de se sentir mal.
Les enfants peuvent se blesser en jouant et se tordre la cheville mais ils ne pleurent qu’au moment où un adulte court vers eux pour contrôler que tout va bien.
En fait, cet enfant apprécie de recevoir ce sentiment de pitié et d’attention de la part de l’adulte. Mais cela n'arrive pas que chez les enfants. Avez-vous déjà remarqué que certaines personnes se vantent pratiquement de tomber malades ou de se blesser ?
"Salut tout le monde, Je me suis cassé la jambe hier, regardez-moi !"
Ce plaisir d'être « pris en pitié » est une forme particulièrement néfaste de recherche d'attention. C'est un signe d'insécurité. Nous voulons être plaints parce que nous avons besoin d'attention, et la pitié est une forme d’attention.
C’est même une forme de validation par l’autre basée sur des sentiments d'infériorité. Ainsi, une personne subissant un sentiment d’infériorité peut apprécier d’adopter une mentalité de victime. Elle abandonne sa responsabilité personnelle, ce qui lui fournit la « permission » d’accuser quelqu'un ou quelque chose d'autre.
Et la recherche de la pitié va de pair avec l'apitoiement sur soi-même, soit un énorme obstacle au bonheur puisqu’on ne peut se sentir bien si on choisit de se sentir mal.
Refus de laisser derrière soi et de lâcher prise
Le cinq de coupe à l’envers peut être interprété comme le refus de laisser derrière soir et de lâcher prise.
Cette carte nous fait réaliser que nous nous accrochons à des sentiments comme la haine, la culpabilité, la blessure et la victimisation parce que nous pensions pouvoir contrôler l'issue d'une situation, parce que nous nous agrippions à nos idées et à nos croyances, et n'envisageons jamais d’alternative.
Injustement, nous accordions à une situation ou à une personne une valeur supérieure et nous y avons abandonné la paix et la joie intérieure sans nous rendre compte de notre propre sabotage.
Néanmoins, si la personne refuse catégoriquement maintenant de tourner la page, le temps s’en chargera. Et cela, au fur et à mesure que son attention et que ses émotions se redistribueront progressivement vers de nouvelles personnes et vers de nouveaux événements.
Le temps l’aidera à avancer. Cependant, ce sera une forme superficielle de lâcher prise qui est la « vie » orchestrée pour l’aider à faire face.
Le problème central demeurera à l'intérieur, parce que les pensées bouleversantes referont surface au moindre rappel, et elles continueront à exercer leur pouvoir à chaque sollicitation.
Cette carte nous fait réaliser que nous nous accrochons à des sentiments comme la haine, la culpabilité, la blessure et la victimisation parce que nous pensions pouvoir contrôler l'issue d'une situation, parce que nous nous agrippions à nos idées et à nos croyances, et n'envisageons jamais d’alternative.
Injustement, nous accordions à une situation ou à une personne une valeur supérieure et nous y avons abandonné la paix et la joie intérieure sans nous rendre compte de notre propre sabotage.
Néanmoins, si la personne refuse catégoriquement maintenant de tourner la page, le temps s’en chargera. Et cela, au fur et à mesure que son attention et que ses émotions se redistribueront progressivement vers de nouvelles personnes et vers de nouveaux événements.
Le temps l’aidera à avancer. Cependant, ce sera une forme superficielle de lâcher prise qui est la « vie » orchestrée pour l’aider à faire face.
Le problème central demeurera à l'intérieur, parce que les pensées bouleversantes referont surface au moindre rappel, et elles continueront à exercer leur pouvoir à chaque sollicitation.
Désespérément accroché au passé
Le fait qu’un individu s’accroche désespérément au passé sera mis en valeur par le tirage du cinq de coupe à l’envers. Cette personne déteste le changement et se sent plus à l'aise avec un mode de vie qu’elle a toujours connu.
Non seulement c'est plus confortable, mais aussi vivre dans le passé n’oblige ni à s’adapter, ni à adopter de nouveaux comportements. La peur ou le manque d’assurance peuvent représenter d’autres raisons également.
La carte montre une tendance à vivre dans son coin, quitte à préférer le diable que nous connaissons plutôt que l’inconnu qui nous voudrait du bien. Comme une personne âgée qui pense que sa façon de faire est vraiment la meilleure. Ça a fonctionné comme ça toutes ces années, alors pourquoi changer ?
Non seulement c'est plus confortable, mais aussi vivre dans le passé n’oblige ni à s’adapter, ni à adopter de nouveaux comportements. La peur ou le manque d’assurance peuvent représenter d’autres raisons également.
La carte montre une tendance à vivre dans son coin, quitte à préférer le diable que nous connaissons plutôt que l’inconnu qui nous voudrait du bien. Comme une personne âgée qui pense que sa façon de faire est vraiment la meilleure. Ça a fonctionné comme ça toutes ces années, alors pourquoi changer ?
Ressasser les amours passées
Le cinq de coupe à l’envers fait ressasser les amours passées. « J'aurais pu faire ceci, j'aurais pu faire cela, je n'aurais pas dû faire ceci, je n'aurais pas dû faire cela...»
La tristesse ressentie est due au fait regret d’avoir mal agi dans le passé. Certaines choses difficiles étaient impossibles à accomplir mais les ressasser donne la fausse impression qu’elles amélioreraient le présent maintenant.
Nous avons peut-être mal traité quelqu'un mais nous ne pouvons plus revenir en arrière et changer le cours des choses.
Les moments passés avec ces personnes nous manquent, la vie était amusante, maintenant, elle semble vide... Alors on se réfugie le plus souvent possible dans son esprit pour revivre les moments qu’on a le plus apprécié au cours de notre vie.
La tristesse ressentie est due au fait regret d’avoir mal agi dans le passé. Certaines choses difficiles étaient impossibles à accomplir mais les ressasser donne la fausse impression qu’elles amélioreraient le présent maintenant.
Nous avons peut-être mal traité quelqu'un mais nous ne pouvons plus revenir en arrière et changer le cours des choses.
Les moments passés avec ces personnes nous manquent, la vie était amusante, maintenant, elle semble vide... Alors on se réfugie le plus souvent possible dans son esprit pour revivre les moments qu’on a le plus apprécié au cours de notre vie.
Entravé par la peur de l'échec
L’état d’esprit d’une personne paralysée par la peur de l’échec est souligné par le cinq de coupe à l’envers.
Par exemple, disons qu'on vous a confié une mission au travail et que vous doutez de votre capacité à la mener à bien. Ce doute limitera inévitablement la quantité d'efforts que vous serez prêt à y investir. Par conséquent, pourquoi se tuer à la tâche si c’est pour échouer ?
Le responsable de cette mentalité est bien sûr, notre cerveau parce que toutes les peurs s’y logent. Il est conçu pour nous garder constamment en sécurité et génère ces peurs uniquement pour assurer notre survie.
Cependant, il faut reconnaître que notre cerveau travaille correctement et c'est pourquoi nous sommes maintenant en vie. On peut ainsi considérer qu’avoir peur est un état naturel face à tout changement.
Néanmoins, dans le cas du cinq de coupe à l’envers, cette tendance est exacerbée au point d’annihiler toute entreprise. C'est une sorte de prophétie auto-réalisatrice, un cercle vicieux qui se renforce avec le temps, un piège qu’elle s’est construit.
Par exemple, disons qu'on vous a confié une mission au travail et que vous doutez de votre capacité à la mener à bien. Ce doute limitera inévitablement la quantité d'efforts que vous serez prêt à y investir. Par conséquent, pourquoi se tuer à la tâche si c’est pour échouer ?
Le responsable de cette mentalité est bien sûr, notre cerveau parce que toutes les peurs s’y logent. Il est conçu pour nous garder constamment en sécurité et génère ces peurs uniquement pour assurer notre survie.
Cependant, il faut reconnaître que notre cerveau travaille correctement et c'est pourquoi nous sommes maintenant en vie. On peut ainsi considérer qu’avoir peur est un état naturel face à tout changement.
Néanmoins, dans le cas du cinq de coupe à l’envers, cette tendance est exacerbée au point d’annihiler toute entreprise. C'est une sorte de prophétie auto-réalisatrice, un cercle vicieux qui se renforce avec le temps, un piège qu’elle s’est construit.
Rongé par la culpabilité
Le cinq de coupe à l’envers évoque une culpabilité si accablante qu’elle ronge de l’intérieur.
Dans cet état, les côtes se serrent de plus en plus autour du plexus solaire et les bouffées d’air diminuent à chaque inspiration. Même si on n’étouffe pas vraiment, on a l’impression d’approcher dangereusement du point d’asphyxie.
Simultanément, on ressent comme un coup de poing dans le plexus solaire et dans le bas du ventre sauf qu’on est seul, personne à accuser. On ne peut se blâmer que soi-même…
Et tandis que la souffrance et le manque d’air frais dominent, on se rend compte que plus on se détend, plus l’oxygène réapparaît. On essaie alors de se rendre le plus amorphe possible, en position fœtale peut-être, mais sans l'énergie nécessaire pour réussir à l’adopter correctement.
Toutes les tentatives d’oubli de la culpabilité engendrent des douleurs lancinantes dans le plexus solaire et dans le bas-ventre. Même l’envie de pleurer ne résout rien...
Dans cet état, les côtes se serrent de plus en plus autour du plexus solaire et les bouffées d’air diminuent à chaque inspiration. Même si on n’étouffe pas vraiment, on a l’impression d’approcher dangereusement du point d’asphyxie.
Simultanément, on ressent comme un coup de poing dans le plexus solaire et dans le bas du ventre sauf qu’on est seul, personne à accuser. On ne peut se blâmer que soi-même…
Et tandis que la souffrance et le manque d’air frais dominent, on se rend compte que plus on se détend, plus l’oxygène réapparaît. On essaie alors de se rendre le plus amorphe possible, en position fœtale peut-être, mais sans l'énergie nécessaire pour réussir à l’adopter correctement.
Toutes les tentatives d’oubli de la culpabilité engendrent des douleurs lancinantes dans le plexus solaire et dans le bas-ventre. Même l’envie de pleurer ne résout rien...